Analyses
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La violence conjugale est reconnue comme problème de société par les grandes institutions internationales, comme problème de santé publique par l’OMS, ainsi qu’au niveau belge. Intervenant de première ligne en matière de violence conjugale, le médecin généraliste a tendance à méconnaître le phénomène. La question de sa formation se pose. Exemple d’un projet pilote mené en Belgique par le CVFE et deux associations médicales.
D’après cette étude menée par Sofft et le Service de Sociologie Générale et de la Famille (ULg), les employeurs interrogés définissent un profil d’informaticien plutôt « masculin », défavorable aux femmes mères de famille et travailleuses, alors que les femmes travaillant dans l’informatique qui ont été interrogées se décrivent comme s’étant adaptées aux exigences « masculines » du secteur.
La violence conjugale est un phénomène répandu, mais peu connu qu’il faut dépister rapidement pour permettre à la victime et à l’auteur de sortir de la spirale dans laquelle ils sont enfermés. Elle a des répercussions importantes sur la santé, ce qui fait du médecin généraliste un interlocuteur privilégié en matière de détection et de prévention.
Le monde médical a tendance à sous-évaluer le problème de la violence conjugale qui est pourtant effectif (une femme sur 7 est touchée en Belgique). Analyse des raisons de cette sous-évaluation (liée à certaines attitudes dans le chef des femmes victimes et du monde médical) et évocation de certains mythes concernant la violence conjugale.
Cette recherche menée par SOFFT et le Service de Sociologie Générale et de la Famille (Ulg) comporte deux objectifs. D’abord, recueillir des données (notamment les éléments favorables et défavorables aux femmes en matière d’emploi) sur des secteurs porteurs d’emploi et notamment le secteur secondaire. Cette enquête fait apparaître que les « freins psychologiques » concernant l’emploi des femmes dans des métiers non traditionnellement féminins sont encore bien présents. Second objectif : prendre contact avec des employeurs ouverts à l’emploi des femmes pour envisager les pistes qui pourraient permettre à celles-ci de prendre pied dans des métiers non traditionnellement féminins.